TSUGI est un nouveau magazine qui a été créé par d'anciens rédacteurs de la revue TRAX ayant pris le maquis après le rachat de leur titre par Technikart. C'est l'ami JEE-MEE (aka "El señor Lelo J. Batista) qui a recemment rejoint leur équipe et qui vient de nous pondre pour le numéro 2 un article sur le "Art poster".
TANXX, BRAZO NEGRO et moi-même avons étés interviewés pour l'occasion.
De l'interview que nous avons faits ensemble, il ne reste au final pas grand chose dans l'article. Je dis ça sans animosité ni frustration, c'est toujours comme ça que ça se passe, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je publie systématiquement dans ces colonnes et dans leur intégralité les interviews que je réalise lorsque je prépare un article.
Pour changer, on vous fait aujourd'hui le coup de l'intervieweur interviewé !
TANXX, BRAZO NEGRO et moi-même avons étés interviewés pour l'occasion.
De l'interview que nous avons faits ensemble, il ne reste au final pas grand chose dans l'article. Je dis ça sans animosité ni frustration, c'est toujours comme ça que ça se passe, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle je publie systématiquement dans ces colonnes et dans leur intégralité les interviews que je réalise lorsque je prépare un article.
Pour changer, on vous fait aujourd'hui le coup de l'intervieweur interviewé !
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1/ Comment as-tu eu accès au "poster art" et comment en est-tu venu à travailler sur des affiches toi-même ?
Comme beaucoup de gens, j'ai découvert tardivement le "poster art" à travers un livre : THE ART OF ROCK. Ceci dit, le feu m'est vraiment venu le jour où j'ai eu accès à la collection d'affiches personnelle de HENRI-PIERRE / BRAZO NEGRO de ROMAIN, son frère. Avant ça, ces posters étaient plutôt des images plates, imprimées sur papier glacé. A partir du moment où j'ai vraiment pu admirer de vraies sérigraphies, les toucher, approcher techniquement d'un peu plus près le travail de sérigraphe, j'ai vraiment pris conscience de la valeur artistique intrinsèque de ces posters.
BRAZO NEGRO m'a initié à ce culte païen, et mon âme est désormais damnée pour l'éternité (et plus si affinité).
2/ Est-ce que tu t'es intéressé au mouvement dans son ensemble (précurseurs des 60's, etc) ? Est-ce que le fait de connaitre l'histoire de ce courant était important pour toi ?
Un "bon chrétien" peut-il pas ne pas avoir lu "La Genèse" ? Est-ce qu'on peux comprendre la musique de Omar Rodriguez-Lopez sans se fader la complète discographie de Santana ? Comment intégrer une discipline sans en connaître ses origines ? Ta question est étonnante, car je ne vois pas comment je pourrais m'intéresser autrement aux choses, la "question des origines" reste pour moi au coeur de chaque chose.
Donc, sans devenir un spécialiste du sujet, je me suis quand même très vite intéressé aux affiches de concerts de la scène Psyche californienne des années 60, et à cette esthétique si singulière, à ces affiches démentielles du Jefferson Airplane, The 13th Floor Elevator, de Hendrix, des Mothers Of Invention... J'ai un peu remonté l'époque, même si la documentation fiable reste tout de même difficile à trouver, pour en arriver au "revival" fin 80 / début 90 qui m'a par contre beaucoup moins passionné. Au fond, je préfère largement ce qui se fait aujourd'hui du côté de chez Tiny Media ou Aaron Orkey comparé au travail de Frank Kozik ou Chuck Sperry.
Comme beaucoup de gens, j'ai découvert tardivement le "poster art" à travers un livre : THE ART OF ROCK. Ceci dit, le feu m'est vraiment venu le jour où j'ai eu accès à la collection d'affiches personnelle de HENRI-PIERRE / BRAZO NEGRO de ROMAIN, son frère. Avant ça, ces posters étaient plutôt des images plates, imprimées sur papier glacé. A partir du moment où j'ai vraiment pu admirer de vraies sérigraphies, les toucher, approcher techniquement d'un peu plus près le travail de sérigraphe, j'ai vraiment pris conscience de la valeur artistique intrinsèque de ces posters.
BRAZO NEGRO m'a initié à ce culte païen, et mon âme est désormais damnée pour l'éternité (et plus si affinité).
2/ Est-ce que tu t'es intéressé au mouvement dans son ensemble (précurseurs des 60's, etc) ? Est-ce que le fait de connaitre l'histoire de ce courant était important pour toi ?
Un "bon chrétien" peut-il pas ne pas avoir lu "La Genèse" ? Est-ce qu'on peux comprendre la musique de Omar Rodriguez-Lopez sans se fader la complète discographie de Santana ? Comment intégrer une discipline sans en connaître ses origines ? Ta question est étonnante, car je ne vois pas comment je pourrais m'intéresser autrement aux choses, la "question des origines" reste pour moi au coeur de chaque chose.
Donc, sans devenir un spécialiste du sujet, je me suis quand même très vite intéressé aux affiches de concerts de la scène Psyche californienne des années 60, et à cette esthétique si singulière, à ces affiches démentielles du Jefferson Airplane, The 13th Floor Elevator, de Hendrix, des Mothers Of Invention... J'ai un peu remonté l'époque, même si la documentation fiable reste tout de même difficile à trouver, pour en arriver au "revival" fin 80 / début 90 qui m'a par contre beaucoup moins passionné. Au fond, je préfère largement ce qui se fait aujourd'hui du côté de chez Tiny Media ou Aaron Orkey comparé au travail de Frank Kozik ou Chuck Sperry.
3/ Beaucoup de gens voient dans le "poster art" un substitut de remplacement à la pochette vinyle, une sorte de nouvelle version de l'"objet musical par excellence". Tu en penses quoi ?
Cette théorie se tient, dans la mesure où historiquement, le gigposter a revu le jour au moment où les majors décidaient de faire disparaître le vinyl pour imposer le CD. Il doit forcément y avoir un rapport de cause à effet, il est évident qu'un amateur de rock ne peux en toute logique pas se satisfaire de ces ridicules petites pochettes enfermées dans de vilains boîtiers plastiques. La pochette de LP a toujours été un objet qu'il n'était pas ridicule d'utiliser pour sa déco. Un CD boîtier plastique, tu en fais quoi ? Tu les empiles en attendant qu'ils rejoignent un jour les tonnes de K7 audio qui sont empilées dans tout les Troc De L'Île de france et de navarre.
4/ Kozik a souvent dit qu'il ne faisait pas de l'art, mais du "recyclage de détritus pop". Tu penses quoi de cette définition ?
J'aime bien cette définition, mais elle n'a rien de pertinente. Cette idée de recyclage est en premier lieu la définition du postmodernisme. Certaines personnes pensent que cette idée de "création pure" est un mythe. Moi j'aurais tendance à penser qu'elle existe mais que son rares sont les heureux élus. 99,99% des "créatifs" d'aujourd'hui ne font que repomper/transformer consciemment ou involontairement des choses qu'ils ont vus ailleurs. Moi le premier. C'est pas forcément très glorieux, mais imagines-tu vivre dans un monde où chaque jour, un artiste élu créerait une forme neuve, une démarche authentique, une esthétique totalement singulière et nouvelle ? Ca serait tout bonnement invivable !
Ce que j'aime par contre dans ces mots "recyclage", "détritus", c'est leur connotation négative, artisanale, DIY, cette idée de "sous-art" capable de se laisser apprécier pour ce qu'il est : disponible, compréhensible par tous.
Cette théorie se tient, dans la mesure où historiquement, le gigposter a revu le jour au moment où les majors décidaient de faire disparaître le vinyl pour imposer le CD. Il doit forcément y avoir un rapport de cause à effet, il est évident qu'un amateur de rock ne peux en toute logique pas se satisfaire de ces ridicules petites pochettes enfermées dans de vilains boîtiers plastiques. La pochette de LP a toujours été un objet qu'il n'était pas ridicule d'utiliser pour sa déco. Un CD boîtier plastique, tu en fais quoi ? Tu les empiles en attendant qu'ils rejoignent un jour les tonnes de K7 audio qui sont empilées dans tout les Troc De L'Île de france et de navarre.
4/ Kozik a souvent dit qu'il ne faisait pas de l'art, mais du "recyclage de détritus pop". Tu penses quoi de cette définition ?
J'aime bien cette définition, mais elle n'a rien de pertinente. Cette idée de recyclage est en premier lieu la définition du postmodernisme. Certaines personnes pensent que cette idée de "création pure" est un mythe. Moi j'aurais tendance à penser qu'elle existe mais que son rares sont les heureux élus. 99,99% des "créatifs" d'aujourd'hui ne font que repomper/transformer consciemment ou involontairement des choses qu'ils ont vus ailleurs. Moi le premier. C'est pas forcément très glorieux, mais imagines-tu vivre dans un monde où chaque jour, un artiste élu créerait une forme neuve, une démarche authentique, une esthétique totalement singulière et nouvelle ? Ca serait tout bonnement invivable !
Ce que j'aime par contre dans ces mots "recyclage", "détritus", c'est leur connotation négative, artisanale, DIY, cette idée de "sous-art" capable de se laisser apprécier pour ce qu'il est : disponible, compréhensible par tous.
5/ Le courant du poster art s'est développé très récemment en France (donc, très tardivement). Quel retour as-tu eu du public local (lors d'expositions, etc) ? As-tu noté une différence avec le public étranger (si tu as eu l'occasion de le cotoyer) ?
Les réactions du public dans les expositions sont globalement très positives. On a souvent à faire à des gens curieux, qui ont étés sensibilisés à cette forme d'expression à travers les quelques livres qui ont étés édités sur le sujet, qui ont eu l'occasion de côtoyer ce mouvement aux Etats-Unis, ou qui traînent sur les sites internet spécialisés.
En revanche, le public des concerts semble toujours aussi sourd aux efforts déployés par les dessinateurs, graphistes et sérigraphes français pour tenter d'arracher l'affiche de concert à son statut ingrat.
Les gens se plaignent très souvent du prix des affiches, ou alors considèrent souvent qu'une affiche "ça ne se paie pas" (se fichant bien de savoir combien coûte réellement la production d'une sérigraphie, quelle qu'elle soit). Dans les concerts, la plupart du temps, les gens trouvent ça très bien, mais ne voient aucun intérêt à en acheter un exemplaire, et préférerons dépenser leur argent dans un disque ou au bar (ou dans rien du tout, car n'oublions pas que pour de nombreux chômeurs ou Rmistes, le disque ou le poster sérigraphié reste un objet de luxe).
6/ Penses-tu qu'il y a un "style" français, ou des sensibilités communes entre les différents illustrateurs que tu as pu rencontrer ? J'ai notamment l'impression qu'on joue beaucoup moins la carte de la provocation en France et que la qualité des sérigraphies est une vraie priorité.
Tu as raison, mais je ne pense pas que la provocation soit forcément une plus-value pour un poster, surtout à l'heure où le moindre bouffeurs d'étrons du P.A.F. ou n'importe quelle célébrité nationale jetable fait stratégiquement de la "provocation" son cheval de bataille pour se faire connaître et monter les échelons du show-biz. C'est pourquoi je reste persuadé que dans ce contexte, la plus belle provocation reste encore une conversation au Catholicisme.
Pour en revenir à ta question, je pense c'est encore un peu tôt pour parler de style français, il y a tellement peu de dessinateurs français qui s'intéressent à ce médium. Par contre, je parlerais plus volontiers d'une certaine "communauté d'esprit", tant il me semble que la plupart des dessinateurs que je fréquente sont globalement tous sur la même longueur d'onde.
Les réactions du public dans les expositions sont globalement très positives. On a souvent à faire à des gens curieux, qui ont étés sensibilisés à cette forme d'expression à travers les quelques livres qui ont étés édités sur le sujet, qui ont eu l'occasion de côtoyer ce mouvement aux Etats-Unis, ou qui traînent sur les sites internet spécialisés.
En revanche, le public des concerts semble toujours aussi sourd aux efforts déployés par les dessinateurs, graphistes et sérigraphes français pour tenter d'arracher l'affiche de concert à son statut ingrat.
Les gens se plaignent très souvent du prix des affiches, ou alors considèrent souvent qu'une affiche "ça ne se paie pas" (se fichant bien de savoir combien coûte réellement la production d'une sérigraphie, quelle qu'elle soit). Dans les concerts, la plupart du temps, les gens trouvent ça très bien, mais ne voient aucun intérêt à en acheter un exemplaire, et préférerons dépenser leur argent dans un disque ou au bar (ou dans rien du tout, car n'oublions pas que pour de nombreux chômeurs ou Rmistes, le disque ou le poster sérigraphié reste un objet de luxe).
6/ Penses-tu qu'il y a un "style" français, ou des sensibilités communes entre les différents illustrateurs que tu as pu rencontrer ? J'ai notamment l'impression qu'on joue beaucoup moins la carte de la provocation en France et que la qualité des sérigraphies est une vraie priorité.
Tu as raison, mais je ne pense pas que la provocation soit forcément une plus-value pour un poster, surtout à l'heure où le moindre bouffeurs d'étrons du P.A.F. ou n'importe quelle célébrité nationale jetable fait stratégiquement de la "provocation" son cheval de bataille pour se faire connaître et monter les échelons du show-biz. C'est pourquoi je reste persuadé que dans ce contexte, la plus belle provocation reste encore une conversation au Catholicisme.
Pour en revenir à ta question, je pense c'est encore un peu tôt pour parler de style français, il y a tellement peu de dessinateurs français qui s'intéressent à ce médium. Par contre, je parlerais plus volontiers d'une certaine "communauté d'esprit", tant il me semble que la plupart des dessinateurs que je fréquente sont globalement tous sur la même longueur d'onde.
7/ Avec Black Cat Bones, le cas est un peu particulier puisque vous avez décliné le "poster art" sur le cinéma. C'est un cas assez unique, et vous touchez de ce fait un public différent. Quelles différences as-tu pu sentir à ce niveau ?
Ce n'est pas un cas si unique, puisque des cinémas comme le ALAMO DRAFTHOUSE de Austin, Texas, ou le ROLLING ROADSHOW festival font régulièrement appel à des artistes pour promotionner au travers d'affiches sérigraphiées les événements qu'ils organisent.
L'originalité de notre démarche vient en revanche du fait que nos affiches ne sont le support d'aucun événement. Nos affiches de films sérigraphiées sont des sortes de "variations sur le même thème", un hommage à des films auxquels on voue un culte. C'est une démarche purement fétichiste. Au fond, notre but est de renouer ce lien perdu avec l'époque où les cinéastes travaillaient avec des illustrateurs ou des peintres pour créer leurs affiches, plutôt qu'avec des cols-blancs tout droits sortis d'école de comm'.
De ce fait, on touche un public "différent" que je n'ai pas pour autant réussi totalement à identifier. Contrairement aux gens qui s'intéressent aux "gigposters", ceux qui s'intéressent à nos affiches ne critiquent jamais nos prix, comme si il était communément admis qu'on faille payer plus cher une affiche de cinéma qu'une affiche de concert. Globalement, j'ai le sentiment que les gens achètent nos affiches comme ils achèteraient des "art print", à la seule différence près que nos affiches restent tout de même très abordables au regard de ce qui se pratique dans le milieu des "arts printers".
Etrangement, j'ai aussi l'impression que les gens achètent plus souvent une affiche pour le dessinateur qui l'a faite, plus que pour le film en lui-même.
8/ Commme Kozik qui fait aujourd'hui des jouets ou Derek Hess qui s'est lancé dans la mode, est-ce que la diversification est un truc que tu as à l'esprit, dans lequel tu aimerais te lancer à plus ou moins long terme ?
Avant d'être "producteurs d'affiches sérigraphiées", nous sommes avant tout et surtout éditeurs de livres d'illustrations. La production de sérigraphie est donc déjà en soit une diversification. Ceci dit, maintenant que j'ai mis un pied dans la sérigraphie, je me verrais mal éditer un livre sans éditer aussi à côté quelques posters des plus belles illustrations. Ces deux activités me semblent désormais inséparables.
Malgré tout, ça ne nous empêche pas de proposer actuellement sur notre webshop des masques de catch ou des affiches "vintage" de films Bis Mexicains. Des articles qui n'ont rien à voir avec l'édition de livres ou d'affiches, mais qui restent cependant très proches de nos centres d'intérêts.
A long terme, je ne me fixe aucun but, à part celui de répondre à mes envies du moment, ni plus ni moins. Black Cat Bones reste pour moi une plate-forme d'échange, je ne me ferme à aucune opportunité, ce qui doit advenir adviendra.
Ce n'est pas un cas si unique, puisque des cinémas comme le ALAMO DRAFTHOUSE de Austin, Texas, ou le ROLLING ROADSHOW festival font régulièrement appel à des artistes pour promotionner au travers d'affiches sérigraphiées les événements qu'ils organisent.
L'originalité de notre démarche vient en revanche du fait que nos affiches ne sont le support d'aucun événement. Nos affiches de films sérigraphiées sont des sortes de "variations sur le même thème", un hommage à des films auxquels on voue un culte. C'est une démarche purement fétichiste. Au fond, notre but est de renouer ce lien perdu avec l'époque où les cinéastes travaillaient avec des illustrateurs ou des peintres pour créer leurs affiches, plutôt qu'avec des cols-blancs tout droits sortis d'école de comm'.
De ce fait, on touche un public "différent" que je n'ai pas pour autant réussi totalement à identifier. Contrairement aux gens qui s'intéressent aux "gigposters", ceux qui s'intéressent à nos affiches ne critiquent jamais nos prix, comme si il était communément admis qu'on faille payer plus cher une affiche de cinéma qu'une affiche de concert. Globalement, j'ai le sentiment que les gens achètent nos affiches comme ils achèteraient des "art print", à la seule différence près que nos affiches restent tout de même très abordables au regard de ce qui se pratique dans le milieu des "arts printers".
Etrangement, j'ai aussi l'impression que les gens achètent plus souvent une affiche pour le dessinateur qui l'a faite, plus que pour le film en lui-même.
8/ Commme Kozik qui fait aujourd'hui des jouets ou Derek Hess qui s'est lancé dans la mode, est-ce que la diversification est un truc que tu as à l'esprit, dans lequel tu aimerais te lancer à plus ou moins long terme ?
Avant d'être "producteurs d'affiches sérigraphiées", nous sommes avant tout et surtout éditeurs de livres d'illustrations. La production de sérigraphie est donc déjà en soit une diversification. Ceci dit, maintenant que j'ai mis un pied dans la sérigraphie, je me verrais mal éditer un livre sans éditer aussi à côté quelques posters des plus belles illustrations. Ces deux activités me semblent désormais inséparables.
Malgré tout, ça ne nous empêche pas de proposer actuellement sur notre webshop des masques de catch ou des affiches "vintage" de films Bis Mexicains. Des articles qui n'ont rien à voir avec l'édition de livres ou d'affiches, mais qui restent cependant très proches de nos centres d'intérêts.
A long terme, je ne me fixe aucun but, à part celui de répondre à mes envies du moment, ni plus ni moins. Black Cat Bones reste pour moi une plate-forme d'échange, je ne me ferme à aucune opportunité, ce qui doit advenir adviendra.
2 commentaires:
ouai un pied dans la hype ! bientôt Justice nous commandera des posters à $100000 !!
Alors ça fait quoi de partager l' affiche avec Justice?
Bon, j' irai le voler quand même...
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