Je réalise ce soir quelques captures d'écran de l'inénarrable chambara (films de sabre japonais) SWORD OF DOOM de Kihachi Okamoto (1966) qui serviront peut-être à HP pour l'affiche que j'aimerais qu'il réalise pour ce qui devrait être la suite de la série SOUS LE SIGNE DU B.
En visionnant les images que j'ai prises, je me rend compte que les 3/4 sont constituées du fascinant visage de TATSUYA NAKADAI. Finalement, le film comporte très peu d'action, la plupart des plans se concentrent avant tout sur le visage du personnage principal, que nous observons petit à petit sombrer dans la folie.
Dans sa réflexion sur l'image cinématographique, Deleuze comparait souvent les visages à des paysages. En voyant ce film, je comprend un peu mieux là où il voulait en venir. Le visage de NAKADAI, ici, n'a pas la fonction des visages cinématographiques classiques. Il n'est aucunement là pour être le support de la parole, mais se laisse presque uniquement appréhender sur le mode de la contemplation, comme vecteur des tourmentes intérieures.
En visionnant les images que j'ai prises, je me rend compte que les 3/4 sont constituées du fascinant visage de TATSUYA NAKADAI. Finalement, le film comporte très peu d'action, la plupart des plans se concentrent avant tout sur le visage du personnage principal, que nous observons petit à petit sombrer dans la folie.
Dans sa réflexion sur l'image cinématographique, Deleuze comparait souvent les visages à des paysages. En voyant ce film, je comprend un peu mieux là où il voulait en venir. Le visage de NAKADAI, ici, n'a pas la fonction des visages cinématographiques classiques. Il n'est aucunement là pour être le support de la parole, mais se laisse presque uniquement appréhender sur le mode de la contemplation, comme vecteur des tourmentes intérieures.
"A sabre pervers, âme perverse"...
"The sword is the soul. Study the soul to know the sword. Evil Mind, evil sword"
Hey, tu vois bien, HP, que ce film est taillé pour toi !
"The sword is the soul. Study the soul to know the sword. Evil Mind, evil sword"
Hey, tu vois bien, HP, que ce film est taillé pour toi !
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