/// BLEED, MY EARS ///IGGY POP the idiot (1977)
VEE DEE public mental health system (2008)
LINTON KWESI JONHSON bass culture (1980)
THE HUMAN LEAGUE dare & love and dancing (1980)
NONSTOP j'ai rien compris mais je suis d'accord (2009)
/// BLEED, MY EARS ///
Seul hic : Si nous avons de quoi ouvrir le café, il reste pas mal de travaux à faire sur la mezzanine pour rendre la gallerie viable (dont l’installation d’un escalier et des toilettes à installer). Étants résidents au Mexique depuis bien trop peu de temps aux yeux des banques, nos demandes de prêts ont toutes étées refusées. Mais nous refusons d’abdiquer. Le Black Cat Bones Café ouvrira ses portes avant cet été dans ces lieux, c’est pour nous une certitude !Et pour ce faire, nous sommes forcés de trouver d’autres moyens de financer ces travaux.C’est la raison pour laquelle nous lançons aujourd’hui un appel à contributions en vous proposant de rejoindre “Le Club des Amis du Black Cat Bones Café”.“Les Amis du Black Cat Bones Café” ? C’est quoi ça ? Un groupe d’actionnaires ? Of course not ! Disons que nous vous proposons plusieurs formules de contributions, qui vous seront rendues au centuple (enfin… presque).
/// PACK UN – 50 EUROS ///
> LE T-SHIRT BLACK CAT BONES CAFÉ
> L’AFFICHE DE LA PREMIERE EXPO
> VOTRE NOM SUR LA PLAQUE A L’ENTREE DE LA GALLERIE (SI VOUS PREFEREZ Y APOSER VOTRE SURNOM OU LE NOM DE VOTRE PRESIDENT AMERICAIN PREFERE, FAITES-LE NOUS SAVOIR)
> STICKERS, BADGES ET MAGNETS BLACK CAT BONES
/// PACK DEUX – 100 EUROS ///
> LE T-SHIRT BLACK CAT BONES CAFÉ
> LE MUG BLACK CAT BONES
> UN EXEMPLAIRE DU PROCHAIN LIVRE BLACK CAT BONES EDITIONS
> L’AFFICHE DE LA PREMIERE EXPOVOTRE NOM SUR LA PLAQUE A L’ENTREE DE LA GALLERIE
>STICKERS, BADGES ET MAGNETS BLACK CAT BONES
/// PACK TROIS – 500 EUROS ///
> VOUS DISPOSEREZ DE NOS ÂMES JUSQU’A LA FIN DES TEMPS
Si notre argumentaire foireux vous a convaincu, nous sommes sincèrement désolés pour vous. Il ne vous reste qu’à nous envoyer un petit mail pour connaître la marche à suivre.
> blackcatboneseditions (at) gmail.com
Merci pour votre attention, gardons la touche !
A la fin de l'interview, Vaclav Havel parvient à persuader Lou Reed de jouer le soir même dans un club, en compagnie du groupe dont il lui parlait plus haut. Après le concert, Lou Reed est présenté à tout un tas de gens. Il écrit : "J'ai ainsi fait la connaissance d'une série de gens étonnants, tous dissidents, et qui tous avaient étés emprisonnés. Certains pour avoir joués ma musique. Beaucoup m'ont dits qu'ils récitaient mes chansons en prison pour se donner du courage et de l'inspiration".
Cet album raconte même les raisons de ce changement de cap. Des raisons plus administratives-kafkaïennes qu'artistiques. Dans cette courte BD, elle évoque en effet ses déboires avec les services d'immigration japonais, le pays où elle vit la moitié du temps avec un visa de touriste (ce qui l'oblige à vivre trois mois au japon, trois mois en France, et ainsi de suite). Les services migratoires ayant remarqués ce petit manège - pourtant légal - elle est sommée de limiter désormais ses séjours sur le sol nippon à un mois. Peu importe si les visas d'un mois n'existent pas ("Vous vous engagez à ne rester qu'un mois, cette conversation a été enregistrée, elle constitue une preuve en cas de désobéissance" lui explique le fonctionnaire), peu importe si elle aime ce pays passionnément, peu importe si l'homme qu'elle aime vit ici. Album démontrant la réalité de la mise en oeuvre d'une politique d'immigration choisie, Je ne verrai pas Okinawa fait froid dans le dos et met efficacement à jour tout l'arbitraire Orwellien qui peux potentiellement se cacher dans les plis d'un tel texte de loi. Derrière ses airs de petit album dessiné spontanément sous le coup de la colère, Je ne verrai pas Okinawa est à ce jour la meilleure BD qu'Aurélia Aurita ait jamais publiée.